lundi 3 novembre 2008

D'un assassinat l'autre

Le 28 avril 1407, profitant de la maladie du roi Charles VI, Louis d’Orléans obtient une réforme du Conseil qui lui en donne le contrôle face à son rival Jean sans Peur, duc de Bourgogne.
Celui-ci décide d’éliminer la menace. Louis tombe sous les coups des spadassins le soir du 23 novembre 1407 à Paris.
S’appuyant sur sa popularité auprès des bourgeois de la capitale, le coupable échappe au jugement et à son éventuelle condamnation. Une lutte à mort s’ouvre entre la maison d’Orléans alliée aux Armagnac et Jean sans Peur.
Après la révolte cabochienne et sa répression à Paris, le royaume espère un répit. C’est alors que survient l’assassinat de Jean sans Peur à Montereau le 19 septembre 1419.


Essai historique publié aux Editions Le Manuscrit le 17 mars 2009

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jeudi 30 octobre 2008

Le chevaucheur des nuées



Quelle est cette mystérieuse communauté des “serviteurs du chevaucheur des nuées“ ? Une bande d‘illuminés prônant toutes les transgressions au nom de la liberté et de la puissance ? Une redoutable organisation criminelle internationale dont les ramifications envahissent peu à peu toutes les sphères du pouvoir politique et économique ? Une quête haletante conduit Lou, héros malgré lui, à la recherche de la vérité. De Paris à Vancouver et du Caire aux souterrains de l‘antique cité d‘Ugarit en Syrie, sa route est jonchée de cadavres atrocement mutilés et d‘apparitions énigmatiques. Ce récit nous entraîne aux confins de la réalité et des illusions, là où les apparences se conjuguent en un cauchemar éveillé aux limites de la folie. Oeuvre de fiction ? En apparence...

Mort étrange d'un général

Ce roman nous plonge dans la période troublée de la fin de la guerre d‘Algérie où s‘entrecroisent assassinats et complots. Les considérations politiques ne facilitent pas le travail du commissaire chargé d’enquêter sur le décès étrange d‘un général à la retraite.

"Le tonnerre gronda à nouveau. La pluie crépitait contre les volets. Un fin courant d’air frais caressa son corps engourdi. La fenêtre s’était-elle ouverte ? Ou bien était-ce une porte ? Ce bruit de pas feutré était-il le fruit de son imagination ? Peut-être avait-il la fièvre…Il sentit une présence, des odeurs. Il ne parvint pas à s’extraire de sa torpeur. Le souffle d’une respiration passa sur son visage. Il tenta de lever les bras mais ses membres étaient de plomb et refusaient d’obéir. Sa tête s’appuya contre un coussin ou un oreiller…Oui c’était certainement l’oreiller. Il était sûrement dans son lit. Il essaya de se redresser mais en vain. Sa tête était lourde. Il avait soif. Soudain, un merveilleux sentiment de fraîcheur envahit sa bouche chaude et sèche."

vendredi 4 avril 2008

Le Coq Rouge: La grande jacquerie de 1358


Le coq rouge : C’est sous ce vocable quelque peu étrange que les paysans du 14éme siècle désignent le feu. A la fin du printemps de 1358, le coq rouge embrase soudainement le nord et l'est de la région parisienne. Les incendies, les feux de joie puis les brasiers d’une impitoyable répression vont éclairer le ciel de Picardie et d’Ile-de-France entre le 28 mai et la fin du mois de juin.
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